Nous avons créé Jump en 2021 pour répondre aux trois grands défis auxquels sont confrontés les freelances : les limites de leur protection sociale (notamment l’absence de chômage), la charge administrative et les difficultés à accéder au logement.
Jump a été lancé par Maxime Bouchet, Thibault Coulon et Nicolas Fayon. Nos fondateurs ont tous les trois fait l'expérience de l'indépendance et ont eux-mêmes été confrontés aux défis auxquels répond Jump. Pour eux, c’était le moyen de répondre à un grand problème de société avec une approche à la fois technologique et humaine.
Notre culture s’articule autour de quatre piliers. Le premier, c’est l’ambition. Nous souhaitons créer un service qui va changer la vie d’un maximum de freelances. Le deuxième c’est l’ouverture, une valeur qui nous paraît fondamentale quand on travaille avec des clients aussi divers que les nôtres. Nous insistons aussi sur le service en faisant le maximum pour nos freelances. Enfin, nous plaçons la transparence au cœur de notre fonctionnement.
Nous avons mis au point un processus de recrutement complet qui inclut des entretiens classiques, des entretiens de culture (pour vérifier que le candidat pourrait s’épanouir chez nous) et un test technique. Dans la plupart des cas, nous cherchons également des candidats qui ont une expérience marquée sur leur poste.
Nous avons pour l’instant beaucoup sollicité notre réseau en nous appuyant sur nos premiers employés. Nous chassons aussi beaucoup.
La méthode est la même pour tous les profils car chez Jump, nous considérons que chaque salarié, quel que soit son métier, est amené à jouer un rôle clé. Pour attirer les développeurs, nous nous appuyons principalement sur la qualité de notre équipe actuelle. En recrutant des profils qualitatifs, nous avons moins de mal à attirer d’autres profils du même acabit.
Jump s’appuie sur une équipe d’employés seniors. La plupart de nos salariés ont au moins cinq années d’expérience, et pour beaucoup d’entre eux un passage dans des boîtes formatrices (Amazon, Doctolib, Ledger, etc.)
Jump, c’est la combinaison de trois ingrédients magiques :
Jump est aux côtés des freelances et vient s’intercaler entre les indépendants et leurs clients. Nous collectons leur chiffre d’affaires directement auprès de leurs clients et nous leur reversons ensuite sous forme de salaire. Au passage, nous nous occupons de régler leurs cotisations et leurs impôts sur le revenu.
Notre première grande différence, c’est l’appui sur la technologie. Nous avons investi énormément d’efforts dans le recrutement de notre équipe tech et produit. Pour nous c’est le meilleur moyen de constituer un produit simple à utiliser pour le plus grand nombre. La deuxième, c’est la qualité de service. Nous avons une équipe expérimentée et hyper réactive à la disposition de nos clients.
Nos trois fondateurs ont d’abord testé Jump auprès d’un nombre limité de clients (en mode MVP). À partir d’avril 2021, une fois que le concept était bien cadré, ils ont commencé à recruter. Pour financer ces recrutements, nous avons levé 4 millions d’euros en septembre 2021 auprès d’Index ventures (qui sont, soit dit en passant, les investisseurs de Slack, Swile, Alan, etc.).
Jump s’adresse aujourd'hui aux quatre millions d’indépendants que compte la France.
Nous faisons du Golang pour le Back-End, et du ReactJS/Natif pour le Front-End. Côté infrastructure, nous faisons du Terraform, Terragrunt, et Helm. On utilise Docker pour le packaging de nos applications, et on les déploie dans des cluster Kubernetes. Pour l’observabilité, on utilise Prometheus, Loki et Grafana. Notre infrastructure est majoritairement hébérgée sur AWS.
Nous travaillons en Kanban, avec une notion de flux et des stories qu’on essaie de “tirer à droite”, mais on garde quand même des itérations de deux semaines pour caler nos rituels et des milestones potentielles.
Nous avons une architecture découpée en microservices stateless, ce qui permet à Jump de scaler de façon horizontale, d’avoir de la haute disponibilité et de la tolérance aux pannes, et d’avoir des cycles de vie différents pour des applications différentes. Cela suit une démarche de découpage organisationnel aussi.
Pour les équipes de Jump, c’est la ténacité qui prime !
En interne, le recrutement a été un point clé. Dès le départ nous avons voulu constituer une équipe solide qui nous permettre de croître rapidement et sereinement. En externe, nous avons dû faire face à une certaine incrédulité du marché : notre produit est beaucoup moins cher et complet que les alternatives. Beaucoup de personnes avec qui nous échangeons trouvent que cela a l’air trop beau pour être vrai...
Merci aux membres de l'équipe de Jump ❤️